LA MALADRESSE / GIKOCHINA-SA (ぎこちなさ)

LA MALADRESSE et GIKOCHINA-SA ぎこちなさ s’intéressent à l’expression chez l’individu de mouvements anormaux et involontaires tels que les tics et les dyskinésies pour fabriquer une poétique, une langue de ce que le corps produit malgré lui.
L’invention de cette “langue” inédite s’appuie sur une résidence longue de la compagnie et de Mylène Benoit à la Villa Kujoyama au Japon de septembre à décembre 2017.